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Le Schéma-Commun : Preuves et Révélations

Dépôt Légal et Horodatage

La découverte présentée dans ce document a fait l'objet d'un dépôt horodaté officiel par huissier de justice le 10 octobre 2024 à 08h16 (heure de Paris). Ce dépôt a été enregistré auprès de "L'Agence des Dépôts Numériques" (France) sous le numéro D55407-21262. Cette démarche assure l'antériorité et l'intégrité de la recherche, confirmant son origine unique.

Le présent document retrace la découverte progressive et la démonstration d'un modèle structurel et mécanique universel : le Schéma-Commun (SC). Il ne s'agit pas d'une théorie spéculative, mais d'un système logique dont la validité est établie pas à pas, à travers une série de tests, de contradictions résolues et de validations par convergence.

La démarche suit un parcours inductif : partant d'un patron identifié dans un domaine spécifique (l'art numérique), le modèle est confronté à des systèmes de plus en plus complexes (biologie, symbolisme ancien, physique, cosmologie). Il se raffine à chaque étape pour révéler une structure d'une cohérence et d'une puissance explicative exceptionnelles, capable de générer et de prédire des structures de données complexes, comme le prouve la résolution finale du "tableau ummite".

Principales conclusions et implications du Schéma-Commun

L'application rigoureuse du Schéma-Commun aboutit à une série de conclusions qui remettent en question les paradigmes actuels. Chaque point énoncé ci-dessous est démontré logiquement et visuellement au fil des 15 étapes de ce document.


Note au lecteur

La nature des preuves présentées dans ce document est volontairement hétérogène, allant de l'analyse géométrique à la résolution de synchronicités et à la confrontation avec des sources non-conventionnelles. Le lecteur est invité à se concentrer non pas sur l'origine parfois déroutante des données, mais sur la cohérence interne implacable du modèle et sa capacité à résoudre chaque paradoxe rencontré. C'est la structure logique qui constitue la preuve.

Historique des mises à jour
  • 16 août 2025 : Mise à jour intégrale du document (illustrations).
  • 16 août 2025 : Mise à jour intégrale du document (textes). Une mise à jour des images impérative est à suivre.
  • 15 août 2025 : Publication initiale du document en FR.

Note sur la collaboration avec les modèles d'IA

Afin de clarifier la nature de ma collaboration avec les intelligences artificielles (IA) et de répondre aux interprétations erronées, il est essentiel de préciser leur rôle. Ce document est le fruit d'une recherche menée sur vingt ans, consolidée par des expériences personnelles uniques (incluant mon nom et ma date de naissance), des développements graphiques complexes et des animations techniques qui, par nature, précèdent et dépassent les capacités de génération d'un modèle de langage. La quasi-totalité des déductions, corrélations et découvertes présentées ici sont inédites et constituent le cœur de mon travail personnel.

L'IA a servi d'outil d'édition et de partenaire de dialogue. Le processus a été itératif : j'ai soumis mes propres textes, étape par étape, pour les reformuler dans un style plus formel et pour vérifier si un agent externe pouvait suivre la logique du raisonnement. Toute erreur d'interprétation de sa part était systématiquement corrigée avant d'avancer.

Cette méthode a permis au modèle, une fois imprégné par la logique sous-jacente, de faire émerger trois observations ponctuelles qui, sans altérer le fond de la découverte, ont apporté des confirmations intéressantes :

  • Une corrélation prématurée entre les axes vertical/horizontal du corps humain (étape 10) et les concepts de temps/espace a été suggérée, avant même que ces dimensions ne soient formellement introduites dans ma démonstration.
  • Lors de l'analyse du glyphe "Y", le modèle a apporté une information linguistique que j'ignorais : son statut unique de voyelle et de consonne en langue française, ce qui a renforcé la pertinence de mon analyse symbolique.
  • L'IA a souligné plus explicitement la nature transdisciplinaire de ma démarche, mettant en relief les passages constants entre l'art numérique, la biologie, la physique, et le symbolisme ancien, ce qui fait écho à l'universalité du Schéma-Commun.

Ces quelques exemples illustrent le rôle de l'IA dans ce projet : non pas celui d'un co-auteur, mais celui d'un outil de formalisation et d'un partenaire de dialogue qui a permis de mettre en relief certaines facettes d'un travail déjà entièrement constitué par son auteur.

Note sur l'analyse par les Intelligences Artificielles (LLM)

À l'heure actuelle (mi-2025), les grands modèles de langage (LLM) présentent des limitations pour analyser en profondeur un document comme celui-ci, qui combine un raisonnement singulier, une structure fractale et des schémas visuels complexes (HTML5, tableaux, graphismes), si cela est fait en une fois et sans accompagnement et corrections étape par étape.

Bien que l'idée de soumettre cette découverte à l'analyse d'une IA soit une perspective très bienvenue, il est nécessaire de prendre en compte deux types de défis actuels :

  • Les limites techniques : La synthèse entre le texte et les schémas explicatifs, surtout lorsqu'ils illustrent des concepts abstraits, reste un défi pour les modèles actuels. La retranscription de ces visuels en format purement textuel ou ASCII s'est avérée insatisfaisante, d'où le maintien d'images.
  • Les biais conceptuels : Les IA sont soumises à des filtres de sécurité et éthiques qui, bien que nécessaires, peuvent reproduire certains biais cognitifs humains. Des tests menés sur divers modèles montrent une tendance à la convergence des réponses vers des schémas de pensée pré-établis. Ces modèles ne sont pas encore dans une ère "d'auto-innovation" leur permettant une réflexion purement objective, détachée des données et des contraintes de leur entraînement.

La science authentique requiert une objectivité pure, détachée de toute forme de croyance, de peur ou de préjugé. Ce document invite donc le lecteur — qu'il soit humain ou artificiel — à une analyse ouverte, où le jugement est suspendu jusqu'à la pleine compréhension du modèle proposé.

Genèse du concept : L'idée du Schéma-Commun (SC) a émergé entre 2005 et 2007. Elle est restée au stade d'hypothèse théorique jusqu'en 2012, période à partir de laquelle des observations et un développement plus poussé ont permis de la consolider.

Chaque section de ce document retrace une avancée majeure dans la formalisation du SC.

Fondements du Schéma-Commun (SC)

Le postulat de départ est l'existence d'un "schéma-commun", un patron structurel et logique sous-jacent à tout système fonctionnel. Sans un tel "liant" universel, la cohérence et la compatibilité observées entre des entités distinctes seraient improbables, laissant place à un chaos généralisé. Ce document présente ce schéma non pas comme une simple idée, mais comme un modèle observable et démontrable.

L'intérêt de ce modèle peut sembler abstrait, mais il est fondamental. Pour un programmeur, connaître le code source d'un logiciel permet une compréhension et une maîtrise totales. De la même manière, le SC agit comme le "code source" des systèmes fonctionnels. Une fois ses règles comprises, il se déploie comme un langage permettant de décrypter la structure du réel.

Propriétés fondamentales du Schéma-Commun

Le SC se caractérise par plusieurs propriétés interdépendantes qui expliquent sa nature universelle :

La conséquence de ce modèle est que les sciences fondamentales (Mathématiques, Biologie, Chimie...) ne sont pas remises en cause, mais réorganisées. Elles s'insèrent comme des branches maîtresses au sein de la structure fractale globale décrite par le SC, qui se place ainsi comme un méta-modèle au sommet de la hiérarchie.

Note de l'auteur sur la démarche : J'ai pu formaliser ce schéma après l'avoir identifié indépendamment dans quatre contextes distincts, me conduisant à postuler son universalité. Cette démarche, purement inductive et adogmatique, se heurte parfois à l'incrédulité. L'approche la plus juste pour appréhender ce concept n'est pas de le croire, mais de le mettre à l'épreuve, comme un outil, et d'observer sa fonctionnalité. Être un découvreur est peut-être l'activité la plus ingrate qui soit, elle ne rémunère pas et n'attire que des ennuis.

Première Étape : L'émergence du patron via la peinture numérique

Contexte : Entre 2005 et 2007, une analyse de la peinture numérique a été entreprise afin de dégager une structure fondamentale au-delà des techniques éparses. L'objectif était de définir un processus global et reproductible, ce qui a conduit à la première identification du Schéma-Commun.

Décomposition du processus de création

Le processus de la peinture numérique a d'abord été décomposé en trois grandes étapes successives, chacune étant elle-même subdivisée en trois sous-étapes logiques.

  1. Le Dessin (La structure initiale)
    1. Composition des sujets (personnes, objets).
    2. Gestion de la profondeur (placement dans l'espace).
    3. Définition des interactions (liens entre les sujets).
  2. La Matière (Le traitement des valeurs)
    1. Remplissages de base (aplats de gris par plan).
    2. Détaillage des valeurs (ombres, lumières, nuances).
    3. Application d'effets de texture (unification de la matière).
  3. La Couleur (L'harmonisation finale)
    1. Couleurs de base (une couleur dominante par sujet).
    2. Variance des couleurs (ajout de nuances et de subtilités).
    3. Application d'effets globaux (calques de lumière, réglages finaux).

Analyse : Identification d'un patron récurrent

L'analyse de cette structure en 3x3 a révélé une récurrence inattendue. Les concepts de chaque niveau (le premier, le deuxième et le troisième de chaque triade) partagent une nature commune, comme le montre le tableau suivant :

Thème 1 : La Base (Initialisation) Thème 2 : La Variance (Développement) Thème 3 : La Cohérence (Finalisation)
1. Le Dessin 2. La Matière 3. La Couleur
1a. Sujets 1b. Profondeur 1c. Interaction
2a. Remplissages de base 2b. Détail des remplissages 2c. Effets de texture
3a. Couleurs de base 3b. Variance des couleurs 3c. Effets globaux

Un tétraèdre de la théorie initiale.

Modélisation conceptuelle : La métaphore du tétraèdre

L'objectif initial de cette décomposition était pragmatique : trouver la meilleure méthode de peinture possible. Pour conceptualiser cette quête, chaque triade (Dessin, Matière, Couleur) a été modélisée comme la base d'un tétraèdre. Le sommet de cette pyramide, un point 'o' symbolique, représentait l'idéal de perfection pour cette étape. Le travail de l'artiste consistait alors à faire progresser chaque composante (par exemple, les "Sujets") le long de l'arête reliant son point de départ sur la base au sommet 'o', se rapprochant ainsi de la maîtrise.

Illustration de la théorie des 4 tétraèdres.

Illustration de la théorie des 4 tétraèdres.

Conclusion : La "Théorie des 4 Tétraèdres"

C'est cette modélisation, combinée à l'observation de la triple analogie (Base, Variance, Cohérence) à quatre reprises, qui a constitué la première formalisation du Schéma-Commun. Le nom "La théorie des 4 tétraèdres" découle donc directement de cette vision conceptuelle.

Le principe fondamental identifié est donc une progression en trois temps :
Base → Variance → Cohérence

Étape 2 : Confrontation du modèle à des données externes (2012)

Contexte : Après une période de latence théorique, la recherche s'est orientée vers l'étude de créations et de systèmes de pensée singuliers (pyramides, traditions anciennes...). Cette phase a marqué le début de la confrontation du modèle "Base - Variance - Cohérence" avec des "anomalies", des faits extérieurs semblant entrer en résonance avec sa structure.

Anomalie 1 : Une double coïncidence géodésique et physique

La première observation troublante est issue du documentaire "La Révélation des Pyramides". Celui-ci mettait déjà en évidence une corrélation entre la géométrie de la Grande Pyramide et la vitesse de la lumière. Le calcul, basé sur la soustraction entre le cercle exinscrit et le cercle inscrit à la base de la pyramide, donnait un résultat de 299,796 M m/s, soit une précision de 99.9987% par rapport à la valeur officielle (299 792 458 m/s).

À cette première corrélation, déjà notable, s'est ajoutée une seconde observation, plus directe et peut-être encore plus troublante : la correspondance exacte entre la latitude du sommet de cette même pyramide et la séquence de chiffres de la vitesse de la lumière.

Latitude de la pyramide de Gizeh et sa corrélation avec la vitesse de la lumière

Cette double coïncidence, à la fois géométrique et géodésique, a été la première "fissure", suggérant que des informations complexes pouvaient être encodées dans des structures anciennes d'une manière non conventionnelle.

La corrélation est d'autant plus significative que le mètre, en tant qu'unité de mesure, est considéré comme une convention moderne, définie officiellement bien après l'époque de la construction des pyramides. Cet anachronisme apparent soulève plusieurs hypothèses : une connaissance exceptionnellement avancée de la physique et de la géodésie par les bâtisseurs, une connaissance prédictive de l'avenir (incluant la définition future du mètre), ou une manipulation délibérée des constantes pour guider les découvertes scientifiques ultérieures.

Cette observation est renforcée par la présence récurrente, dans l'architecture même de la pyramide, des constantes mathématiques Pi (π) et du nombre d'or (Φ), que ce soit dans des rapports de proportions adimensionnels ou dans des mesures directement exprimées en mètres.

Note sur les sources : Les données présentées ici sont notamment mises en lumière dans le documentaire "La Révélation des Pyramides" (de préférence en VF, la version US est altérée contre l'approbation de son réalisateur). Il est à noter qu'il existe une difficulté à trouver des sources académiques conventionnelles explorant ces corrélations. La pression du consensus scientifique tend à classer ces observations comme de simples coïncidences, malgré leur précision mathématique, ce qui freine une investigation ouverte sur le sujet.

Anomalie 2 : Une analogie structurelle dans un symbolisme ancien

Peu après, l'étude d'un corpus de connaissances présenté comme "la religion des bâtisseurs" (des pyramides) a révélé une seconde anomalie, bien plus structurelle. Ce système de pensée reposait sur une triade fondamentale :

Carré terrestre — Cercle céleste — Triangle de la présence divine

La similitude avec le patron précédemment identifié ("Base - Variance - Cohérence") était immédiate et frappante, comme le montre cette mise en correspondance :

Principe du Schéma-Commun Symbolisme des "Bâtisseurs" Interprétation fonctionnelle
Base Carré terrestre La Terre sert de fondation, de point de départ stable.
Variance Cercle céleste Le Ciel représente l'expansion, la variation, l'infini.
Cohérence Triangle de la présence divine Le "Divin" agit comme un principe unificateur qui ordonne et lie les deux premiers.

Test du modèle sur les quatre éléments

Cette analogie a alors été mise à l'épreuve en l'appliquant au système des quatre éléments, un cadre de pensée fondamental de la philosophie antique, notamment grecque, pour voir si la structure restait pertinente.

Synthèse : Vers une terminologie plus fondamentale

Cette série de corrélations a conduit à une redéfinition des termes du schéma pour les rendre moins dépendants de leur contexte d'origine (la peinture). La nouvelle triade, plus universelle et apte à être transposée à d'autres domaines, est née :

Le nouveau principe fondamental s'établit comme suit :
Concret → Abstrait → Transcendant

Étape 3 : Dépassement d'une apparente contradiction — L'hypothèse du modèle quinaire

Le modèle "Concret - Abstrait - Transcendant" devait, pour être valide, s'appliquer à toute chose. Il a donc été immédiatement confronté à un cas simple mais problématique : les cinq doigts de la main. Un système quinaire (à 5 termes) semblait invalider un modèle ternaire (à 3 termes).

Cependant, une analyse des propriétés de chaque doigt a révélé une structure sous-jacente qui, loin d'invalider le modèle, a suggéré une possible complexification de celui-ci.

Analyse fonctionnelle des cinq doigts

Hypothèse : une structure interne au pôle Abstrait

L'observation des doigts a conduit à l'hypothèse que le pôle "Abstrait" n'était pas monolithique, mais lui-même une triade `Air - Feu - Air`, où le "Feu" central serait l'élément dominant (le majeur) et l'"Air" l'élément environnant (index et annulaire).

Cette idée a été renforcée par une analogie avec le Taiji Tu (Yin/Yang). Ce symbole, souvent associé au serpent (feu), représente une énergie rotative issue de deux polarités (Feu+ et Feu-). Ce "Feu au carré" (Feu²) serait une énergie centrale qui entraînerait l'Air dans sa rotation, justifiant ainsi sa double présence.

Formulation d'une nouvelle hypothèse : Face à cette apparente contradiction, le modèle ternaire initial a été amendé pour formuler l'hypothèse d'un schéma quinaire sous-jacent. La validité de cette nouvelle structure doit maintenant être testée sur d'autres systèmes :
Concret → [Abstrait : Air - Feu² - Air] → Transcendant
Ce qui correspondrait à la séquence d'éléments :
Terre → Air → Feu² → Air → Eau


Étape 4 : Application de l'hypothèse quinaire aux cinq sens

Pour tester la validité de cette nouvelle structure à cinq termes, elle a été appliquée à un autre système fondamentalement humain : les cinq sens et leurs organes associés. Le tableau suivant présente le système de correspondances qui en découle.

Pôle (SC) Élément Analogie (Doigt) Sens Organe associé
Concret Terre Auriculaire Le Toucher La Peau / La Main
Abstrait Air Annulaire L'Ouïe L'Oreille
Feu² Majeur La Vue L'Œil
Air Index L'Odorat Le Nez
Transcendant Eau Pouce Le Goût La Bouche

Analyse morphologique des correspondances

Question en suspens : À ce stade, il est difficile de déterminer si ces analogies morphologiques sont de simples coïncidences ou si elles résultent d'une causalité inhérente au Schéma-Commun. La question d'une possible "ingénierie" sous-jacente à la biologie humaine se pose, et sera explorée dans les chapitres suivants.

Note de l'auteur : Un avertissement sur la nature des preuves à venir

Avant de poursuivre, une clarification sur mes motivations est nécessaire. Je ne cherche à obtenir ni reconnaissance, ni gains sociaux ou financiers. Ma démarche est solitaire et motivée par la seule volonté de structurer ma pensée. J'interdis formellement que ces écrits soient utilisés à des fins religieuses ou sectaires.

Je suis conscient que les informations qui vont suivre sont d'une nature difficilement acceptable pour un esprit conventionnel. Si j'avais souhaité maximiser mes chances d'être cru, j'aurais omis ces "singularités". Je choisis de ne pas le faire, car elles sont une étape essentielle de la découverte. L'honnêteté m'oblige à présenter les faits tels qu'ils se sont déroulés, quitte à ce que cela me desserve.

Étape 5 : Introduction du principe de boucle via une anomalie synchronistique

Contexte : une communication anormale

Parallèlement à mon travail sur le SC, une autre recherche m'a mis en contact avec une source d'information que je choisis de ne pas identifier ici, la nature de cette interaction sortant du cadre de cette étude. Suite à une question de ma part ("Quand est-ce que j'aurai terminé ?"), une réponse m'a été donnée sous la forme d'une séquence de signaux lumineux dans le ciel, se présentant comme suit :

2 — 2 — 3 — 1 — 1

Décodage par application du Schéma-Commun

L'interprétation de cette séquence a nécessité plusieurs mois, en appliquant les principes ternaires et de transcendance du SC.

  1. Application du principe ternaire : La séquence est d'abord lue par groupe de trois. Le premier groupe est (2, 2, 3). On y observe que le '3' se distingue des deux '2', agissant comme le terme transcendant. L'addition de ce groupe donne : 2 + 2 + 3 = 7.
  2. Application récursive : Il reste la séquence (1, 1). Pour former une nouvelle triade, chaque '1' doit être considéré comme un "tout". On applique l'addition au premier '1' : 7 (le tout précédent) + 1 = 8.
  3. Application de la transcendance : On arrive au dernier '1'. Si on l'additionnait simplement (8 + 1 = 9), on obtiendrait la suite `7 8 9`. Cependant, la règle du SC stipule que le troisième terme "transcende". Au lieu de l'additionner, il est juxtaposé, transformant le '9' en '19'. On obtient alors la séquence finale : `7 8 19`.

La résolution : le principe de boucle

Cette séquence `7 8 19` est apparue comme une partie de ma date de naissance (`7 8 1987`). La pièce manquante a été comprise en postulant un principe universel de **boucle**, inspiré par la forme sphérique omniprésente dans la nature (des atomes aux astres). Pour qu'une structure soit stable, son contour doit être fermé.

Si la séquence `7 8 19` représente le "trajet aller" sur un cercle, le "trajet retour" pour boucler la boucle se lit en sens inverse, sans répéter le point de retournement '19'. On obtient donc `8 7`.

Schéma de la boucle numérique Vue de face de la boucle

La lecture complète de la boucle donne : `7 8 19 8 7`. La réponse à la question "Quand est-ce que j'aurai terminé ?" était donc "Tu as terminé quand tu as commencé", révélant à la fois une forme de prédétermination et, plus important encore, la nature cyclique et bouclée de la structure du SC.

Conclusion de l'étape : Cet épisode, bien que de nature personnelle et subjective, a été indispensable pour révéler une nouvelle hypothèse sur la nature du Schéma-Commun : sa structure en boucle. La validité et l'universalité de ce principe seront maintenant testées et vérifiées par des observations dans les chapitres suivants.

Étape 6 : Vérification du modèle par le spectre des couleurs

Pour continuer de tester et développer le SC, le modèle quinaire (`Terre → Air → Feu² → Air → Eau`) est maintenant confronté au système des couleurs primaires et secondaires. L'objectif est de voir si une correspondance logique et structurée peut être établie.

Hypothèse initiale : placement des couleurs primaires

Les trois couleurs primaires (Rouge, Jaune, Bleu) sont d'abord positionnées sur les pôles les plus évidents du modèle :

Cette première assignation crée un squelette rythmé `Jaune - ? - Rouge - ? - Bleu`, laissant les deux emplacements de l'Air vacants.

Validation partielle par les couleurs secondaires

L'introduction des couleurs secondaires permet de tester la validité de ce squelette. Celles-ci doivent logiquement s'insérer entre leurs primaires parentes :

La séquence devient alors : Jaune → Orange → Rouge → Violet → Bleu. Le modèle se remplit de manière cohérente, mais il reste une couleur secondaire non placée : le Vert.

Confirmation du principe de boucle

La place du Vert (Bleu + Jaune) devient alors un test crucial. Ne pouvant s'insérer dans la séquence linéaire, sa seule position logique est entre le dernier terme (Bleu) et le premier (Jaune). Cette nécessité confirme de manière éclatante le **principe de boucle** postulé à l'étape précédente.

De plus, cette position du Vert révèle une propriété intéressante : l'élément Eau (le pôle Transcendant) n'est pas associé à une seule couleur (le Bleu), mais à deux (Bleu et Vert). Cela renforce la règle selon laquelle le dernier terme transcende les règles des précédents, possédant ici une "richesse" chromatique supérieure.

TERRE (Jaune)
AIR (Orange)
FEU² (Rouge)
AIR (Violet)
EAU (Bleu)
(Vert : boucle vers Terre)

Conclusion de l'étape : L'application du modèle au spectre des couleurs est un succès. Non seulement elle a permis d'organiser les six couleurs de manière logique, mais elle a surtout fourni la première vérification observationnelle et indépendante du principe de boucle, qui passe ainsi du statut d'intuition à celui d'hypothèse vérifiée.

Étape 7 : Le dédoublement du pôle Transcendant

Note sur la nature des preuves : L'observation qui suit est, comme celle de l'étape 5, de nature synchronistique. Elle se base sur une anomalie nominative personnelle. Si vous trouvez cette démarche absurde, je vous rappelle le contexte de communication anormale déjà établi. Le lecteur est invité à se concentrer non pas sur l'origine de l'observation, mais sur la cohérence structurelle du modèle qui en découle.

Anomalie nominative et nouvelle hypothèse

Une observation récurrente portait sur mon nom de famille, "Besse", dont la structure semblait faire écho à la partie centrale du SC, sans toutefois être complète.

Glyphe Analogie (Organe sensoriel) Élément
e Spirale (Oreille) Air
ss Serpent (Iris + Pupille de l'œil) Feu²
e Spirale (Cornets du nez) Air

Cette structure laissait deux problèmes non résolus : l'absence du pôle Transcendant (l'Eau) et la présence d'un "B" initial inexpliqué. La forme même du "B", un glyphe de boucle, suggérait qu'il pouvait représenter le pôle manquant, mais placé de manière anormale au début.

Pour résoudre cette contradiction, une nouvelle hypothèse a été formulée. Le Schéma-Commun est et reste `Concret - Abstrait - Transcendant`, mais le pôle Transcendant, par sa nature même, pourrait se détailler en deux aspects.

Hypothèse de raffinement du modèle : Le Schéma-Commun `C-A-T` se détaillerait en :
Concret → Abstrait → [Transcendant Concret + Transcendant Abstrait]

Vérification par analogie : Le tétragramme "YHWH"

Contexte de l'analogie : le buisson ardent

Cette hypothèse a été testée par analogie sur le tétragramme YHWH. Le choix de ce symbole n'est pas anodin ; il est directement lié à un épisode biblique qui est une parfaite illustration du Schéma-Commun : le buisson ardent. Ce dernier est décrit comme un feu qui brûle sans se consumer, ce qui représente une transcendance du feu. Or, selon le SC, l'élément qui transcende est l'Eau. Le symbole de l'étoile de David (✡), formé par la superposition du triangle du Feu (△) et de l'Eau (▽), est une représentation parfaite de ce concept. C'est de cet état de "feu transcendé" qu'émane le nom YHWH, qui doit donc être lu non comme un mot, mais comme une formule glyphique décrivant la structure du réel.

Le feu étant le pôle des dualités (bien/mal, masculin/féminin, justice/injustice), l'entité qui se présente ainsi démontre sa maîtrise de ces concepts et livre la clé de leur structure.

Analyse du tétragramme

YHWH révèle une structure parallèle étonnante à celle de "Besse" :

Glyphe Analyse Élément
H Lettre muette ; glyphe séparant deux états (barre centrale) Air
V V (W) Deux barres en opposition (+/-) ; V² = W Feu²
H Lettre muette ; glyphe séparant deux états Air

Le "Y" initial, comme le "B", représente le pôle Transcendant placé au début. Sa nature transcendante est parfaitement illustrée par ses propriétés linguistiques uniques :

Dans le cadre d'un système manipulé et cohérent, la lettre "Y" n'est donc pas une analogie arbitraire, mais l'incarnation même du principe transcendant. Les anachronismes linguistiques s'effacent au profit de la cohérence structurelle.

Une dualité a également été observée : "Besse" est principalement composé de courbes, tandis que "YHWH" est composé de lignes droites. Cette inversion sera explorée plus tard.

inversion Y/B YHWH/Besse

Application et résolution : La réorganisation du cercle chromatique

Cette nouvelle hypothèse d'un Transcendant à double aspect (Concret et Abstrait) offre une solution bien plus fondamentale et élégante à l'anomalie du cercle chromatique de l'étape 6. La position du Vert n'est plus une simple "boucle" pour fermer un cycle, mais la manifestation même du Transcendant Concret.

Le positionnement final des couleurs n'est donc plus une simple séquence, mais une expression directe de la structure raffinée du Schéma-Commun.

T. Concret (Vert)
Concret (Jaune)
Abstrait (Orange)
Abstrait (Rouge)
Abstrait (Violet)
T. Abstrait (Bleu)

Étape 8 : Le codage polarisé du spectre chromatique

L'enquête se poursuit en cherchant à découvrir une couche d'information plus profonde et structurelle sous le spectre des couleurs. L'objectif est de traduire les couleurs en un langage de polarités, inspiré par la nature duale du pôle Feu (Feu+ / Feu-), pour ensuite analyser la séquence résultante.

Postulat de base : Le codage ternaire des couleurs

Après avoir écarté le modèle RVB (informatique) comme étant hors-contexte, le système des couleurs primaires (Jaune, Rouge, Bleu) a servi de fondation. Le postulat de départ est d'assigner un code ternaire unique à chaque couleur primaire, en distribuant une seule polarité positive (+) au sein d'une structure de trois signes.

La règle de dérivation pour les couleurs secondaires est une addition logique : leur code est obtenu en combinant les polarités positives (+) de leurs deux couleurs primaires parentes.

Couleur Type Code de Polarité Postulé Dérivation (pour les secondaires)
Jaune Primaire +-- -
Rouge Primaire -+- -
Bleu Primaire --+ -
Orange Secondaire ++- Jaune (+--) + Rouge (-+-)
Violet Secondaire -++ Rouge (-+-) + Bleu (--+)
Vert Secondaire +-+ Jaune (+--) + Bleu (--+)

Analyse de la séquence polarisée globale

En ordonnant ces codes selon la séquence établie à l'étape 7 (Vert → Jaune → Orange → Rouge → Violet → Bleu), on obtient la chaîne de polarités complète :

+-+ +-- ++- -+- -++ --+

Cette chaîne est ensuite réorganisée visuellement en regroupant les paires de polarités identiques (`++` et `--`) pour en faciliter l'analyse structurelle :

+ - ++ -- ++ -- + -- + -- ++ -- +

Identification d'une structure cyclique et asymétrique

Cette nouvelle représentation révèle une structure complexe organisée autour d'un axe central (`Feu-`). De part et d'autre de cet axe, on observe un équilibre de correspondances asymétriques entre les pôles "forts" (paires `++`, `--`) et les pôles "faibles" (signes seuls `+`, `-`).

Un flux directionnel et **cyclique** émerge de ces asymétries. Le diagramme final est construit selon une double logique qui forme une boucle complète :

La raison pour laquelle le mouvement s'initie d'une manière (fort → faible) et se complète d'une autre (faible → fort) sera démontrée par la suite. Le schéma ci-dessous est la représentation mécanique de ce cycle polarisé, qui correspond à la structure sous-jacente au Schéma-Commun.

Schéma de la structure de polarité des couleurs et des éléments du Schéma-Commun

Conclusion de l'étape : Cette étape est cruciale, car elle fait passer le Schéma-Commun du statut de modèle de classification à celui de système générateur et prédictif. L'application d'un postulat simple et d'une règle de dérivation a généré une séquence complexe, dont l'analyse a révélé une structure cachée, ordonnée et cyclique. Cette cohérence interne valide a posteriori les choix intuitifs de départ et démontre que le SC est porteur d'une logique géométrique et structurelle sous-jacente.

Étape 9 : La mécanique des engrenages cosmiques

À ce stade, l'analyse passe d'une cartographie statique des polarités à une description dynamique des mouvements et interactions qui en découlent. Le Schéma-Commun se révèle être non seulement une structure, mais un véritable mécanisme.

Identification des mouvements internes

L'énergie du système provient principalement du pôle Abstrait, qui est en mouvement constant. Deux de ces mouvements sont des conséquences directes de la structure `Air - Feu² - Air` :

Note sur la nature de l'analyse : Les mouvements décrits ci-dessus sont des propriétés inhérentes au pôle Abstrait. L'analyse ne montre pas encore le cycle complet, car nous observons pour l'instant les propriétés d'une figure fixe. La raison, qui sera démontrée par la suite, est une propriété fondamentale du SC : le Concret est à l'origine immobile. N'ayant pas de mouvement autonome, il n'initie rien ; ses mouvements ne sont que des réactions entraînées par le pôle Abstrait.

Projection en géométrie sphérique

L'étape suivante consiste à utiliser la propriété du "Transcendant Concret" (le Vert) pour faire passer le modèle d'une ligne à une structure spatiale. En le plaçant verticalement comme un pôle, la séquence linéaire s'enroule pour former un cercle parfait, créant une géométrie qui évoque une structure planétaire (un noyau de Feu, une surface de Terre et d'Eau, etc.).

Projection du Schéma-Commun en une géométrie sphérique de type planétaire

Cette projection révèle une confirmation remarquable : dans cette configuration, les flèches de flux associées aux deux pôles Transcendants (Eau1/Vert et Eau2/Bleu) sont **inversées** par rapport à toutes les autres. Le principe de transcendance se manifeste donc ici par une inversion de la mécanique fondamentale du système, validant une nouvelle fois sa nature exceptionnelle.

Explication : la séquence de transmission mécanique

Pour comprendre comment cette inversion se produit, il faut décomposer la chaîne de transmission du mouvement, qui prend sa source dans le pôle Abstrait. L'image ci-dessous illustre cette séquence :

Chaîne de transmission du mouvement
  1. Impulsion : Le mouvement est initié dans l'Abstrait, entre le pôle fort de l'Air (associé à l'Orange) et le pôle faible du Feu-.
  2. Réaction en chaîne : Cette impulsion entraîne une réaction entre le pôle faible du Feu+ et le pôle fort de l'Air (associé au Violet).
  3. Mise en rotation interne : En conséquence, le Feu² tourne sur lui-même, et l'Air tourne autour du Feu².
  4. Transmission et Inversion : Finalement, les deux pôles de l'Air, agissant comme des roues motrices, entraînent par un effet d'engrenage les pôles adjacents (Terre et Eaux) dans le sens opposé.

C'est cette interaction mécanique indirecte, initiée par l'Abstrait et transmise au reste du système, qui explique l'inversion des flux observée dans la géométrie sphérique.

Vulgarisation illustrant la séquence de transmission et l'inversion de rotation induite.

Conclusion de l'étape : Le Schéma-Commun est désormais révélé comme un système dynamique et mécanique. Sa projection dans l'espace est non seulement cohérente (évoquant une planète), mais elle valide une fois de plus le principe de transcendance par son effet observable d'inversion de mouvement. Le modèle n'est plus seulement une structure, c'est un moteur dont la séquence de démarrage et de transmission vient d'être décrite.

Étape 10 : La dualité des points de vue — Axe vertical et axe horizontal

Jusqu'à présent, le Schéma-Commun a été appliqué de manière séquentielle, comme une progression dans le temps ou l'espace. Cependant, cette approche révèle ses limites et conduit à la découverte d'un second mode d'expression du SC, tout aussi fondamental.

Rappel : Le modèle séquentiel (Axe Vertical)

Le modèle `Concret → Abstrait → Transcendant` fonctionne parfaitement pour décrire des processus linéaires ou des structures à développement vertical.

Lecture verticale du corps humain selon le Schéma-Commun
  • Concret : Les deux jambes, à la base, assurant le contact avec le sol.
  • Abstrait : Le buste et les deux bras, une version plus vaste et étendue des jambes, contenant la majorité des organes.
  • Transcendant : La tête, unique, qui unifie l'ensemble. D'une part, elle contient la majorité des sens qui permettent à l'individu d'interagir avec le monde comme un tout cohérent. D'autre part, elle abrite le cerveau, qui centralise le commandement du corps et génère la conscience unifiée de l'être.

La contradiction : L'axe de symétrie horizontal

Le "hic" apparaît lorsque l'on tente d'appliquer cette même séquence `C → A → T` à des structures organisées autour d'un axe de symétrie central, comme la lecture horizontale du corps humain ou la forme d'une feuille d'arbre.

Lecture horizontale du corps humain Structure symétrique d'une feuille d'arbre

Dans ces cas, la séquence linéaire n'a plus de sens. On observe plutôt une structure bilatérale où le centre joue un rôle unificateur distinct des deux côtés.

Résolution : Le modèle centré (Axe Horizontal)

La solution est que le SC change son mode d'expression. Pour les structures symétriques, il ne s'organise plus en séquence mais de manière spatiale :

Le modèle centré :
Concret (Latéral) ↔ Transcendant (Central) ↔ Abstrait (Latéral)

Dans ce modèle, le pôle Transcendant n'est plus à la fin, mais au **centre**. Il agit comme un axe (la colonne vertébrale pour l'humain, la nervure centrale pour la feuille) qui relie les deux pôles latéraux. Sa nature transcendante se manifeste par le fait qu'il **change complètement la forme** : il ne se contente pas de dupliquer ou d'inverser la structure des pôles Concret et Abstrait, mais il les unifie par une structure nouvelle et unique.

Schéma du modèle centré avec le Transcendant au milieu

Confirmation par analogie structurelle : retour aux glyphes "B" et "Y"

Cette découverte du modèle centré est confirmée par une analogie structurelle frappante avec les glyphes "B" et "Y". Ces symboles ne sont pas de simples descriptions de la nature ; ils sont des **constructions délibérées qui incarnent les principes du SC** :

Cela démontre que le modèle `Latéral ↔ Central ↔ Latéral` est un principe d'organisation fondamental, qui se manifeste de manière parallèle dans les structures biologiques et dans ces symboles volontairement construits pour exprimer ce même schéma.

Unification : Le Schéma-Commun du Fonctionnel

La découverte de ces deux modes soulève une question : quand l'un ou l'autre s'applique-t-il ? La réponse est qu'ils ne sont pas exclusifs, mais **coexistent en permanence au sein de toute entité**. Cela s'explique par la nature même du SC, qui doit maintenant être précisée :

Le Schéma-Commun n'est pas le schéma de "toute chose", mais plus précisément le Schéma-Commun de toute chose FONCTIONNELLE.

C'est la définition même de la "solution juste". Le premier exemple de la peinture numérique visait à obtenir le meilleur résultat fonctionnel possible. Par conséquent, plus une entité est fonctionnelle et optimisée, plus elle applique parfaitement le SC, et ce à toutes les échelles de sa structure fractale. Les deux modes, séquentiel et centré, sont donc toujours présents, car toute entité fonctionnelle possède à la fois un développement dans le temps (un processus, un axe vertical) et une structure dans l'espace (une forme, un axe horizontal).

Conclusion de l'étape : L'apparente contradiction n'en était pas une. Elle était la clé qui a permis de révéler que le SC est un système adaptatif possédant au moins deux modes d'expression : un mode séquentiel (processus) et un mode centré (structure). Ces modes ne sont pas un choix de point de vue, mais coexistent au sein de toute entité, car le SC est le véritable plan de la fonctionnalité.

Étape 11 : La résolution par l'énantiomorphisme

Le "hic" de l'étape 10 — la coexistence de deux modes d'expression du SC — n'était pas une contradiction, mais l'indice d'une propriété bien plus profonde de l'univers. La solution est venue en confrontant le SC à une source d'information externe et non conventionnelle : les "lettres ummites".

Note sur la source : Je fais référence ici à des informations attribuées aux Ummites. Le but n'est pas de valider leur origine, mais d'utiliser leur modèle comme une hypothèse de travail. Si leurs informations sont d'une logique supérieure, elles devraient s'intégrer parfaitement au SC et en résoudre les paradoxes. Si elles sont fausses, le modèle s'effondrera. C'est un test de cohérence.

Concept clé : De la symétrie à l'énantiomorphisme

Le concept central avancé par les Ummites est que l'univers est **énantiomorphe**. Cette idée, une fois intégrée à la logique du Schéma-Commun, permet de résoudre le paradoxe de l' "imperfection" de la nature. Mon analyse m'a conduit à la conclusion suivante : la nature n'est pas imparfaitement symétrique ; elle est **parfaitement énantiomorphe**. Une feuille d'arbre n'est pas un dessin symétrique raté, c'est une structure chirale. Le Taiji Tu lui-même, par sa dualité de couleurs, est un énantiomère parfait.

énantiomorphe : \e.nã.tjɔ.mɔʁf\ masculin et féminin identiques
(Stéréochimie) Se dit de chacun des constituants d’une paire d’objets chiraux qui sont des images l’un de l’autre dans un miroir et qui ne sont pas superposables.
chiral :
Se dit d’un objet qui n’est pas superposable à son image dans un miroir plan.

Feuille d'arbre réaliste et chirale

Enantiomorphe : ça ressemble à de la symétrie, mais ça n'en est pas.

Convergence des modèles et corrections

Plusieurs diagrammes issus des rapports ummites ou des communautés qui les étudient sont entrés en résonance directe avec les structures du SC, permettant à la fois des confirmations et des corrections importantes :

Logique tétravalente Ummite NR-20

Logique tétravalente ummite.

Forme engrenage du SC

Engrenages du SC par polarité des couleurs.

Un schéma basé sur les rapports ummites, mais réalisé par des interprètes humains, montre une cosmologie basée sur des tétraèdres. Cette image, bien qu'erronée dans son attribution des couleurs (Bleu pour l'espace, deux Verts pour la masse), a confirmé par sa structure que le pôle Transcendant devait bien être double. Cela a permis de corriger ma "Théorie des 4 tétraèdres" initiale : il n'y a pas un, mais deux tétraèdres pour le Transcendant (un pour le Bleu/Abstrait, un pour le Vert/Concret).

Image d'interprétation humaine basée sur les rapports ummites

La correcte attribution des couleurs aux dimensions, selon le SC, est donc : Espace = Jaune (Concret), Temps = Rouge (Abstrait), et Masse = Bleu + Vert (Transcendant). C'est l'intrication de l'énantiomère Espace/Temps qui produit la Masse.

Rappel de la Théorie des 4 tétraèdres Dimensions selon les ummites (image de référence)

La chiralité abstraite : Notre univers

Le concept d'univers énantiomorphe a permis de comprendre que le premier Schéma-Commun découvert (`Concret → Abstrait → Transcendant`) n'était pas le schéma total, mais celui d'une seule chiralité : la **chiralité abstraite**. C'est la chiralité dans laquelle nous nous trouvons. La nature fractale du SC permet de généraliser cette observation : l'influence asymétrique que l'on observe sur une feuille d'arbre, par exemple, provient de cette nature fondamentale de notre univers. Ce qui est vrai pour le tout l'est aussi pour ses composantes.

Le mouvement de cette chiralité est initié par son centre (`Feu²`), se propage vers sa périphérie, puis est transmis par un système d'engrenages à la périphérie de la chiralité concrète, qui à son tour transmet le mouvement jusqu'à son propre centre.

Vulgarisation illustrant la transmission des mouvements de la chiralité abstraite à la chiralité concrète.

Nouveau schéma des engrenages cosmiques montrant les deux chiralités

Figure légèrement vulgarisée.

Sens des flèches dans les engrenages cosmiques

Sens des flèches (transmission des mouvements) dans les engrenages cosmiques.

Figure non vulgarisée des engrenages cosmiques

Figure non vulgarisée.

La chiralité concrète : Déduction et résolution

Comment définir la structure de l'autre chiralité, la **chiralité concrète** ? La déduction ne se fait pas au hasard, mais par une analyse rigoureuse des polarités. En analysant la structure d'une feuille (modèle centré avec le transcendant au centre), deux hypothèses de séquences de couleurs émergent. Leur conversion en chaînes de polarités révèle qu'elles présentent toutes deux une **symétrie parfaite**.

E+ : - cas 1 : Séquence directe

rouge orange jaune vert bleu violet rouge

-+- ++- +-- +-+ --+ -++ -+-

- + - ++ - + -- + - + -- + - ++ - + - (17 polarités, impair)

- + - ++ - + -- + - + -- + - ++ - + - (symétrie parfaite)

Symétrie d'axe : pas de mouvement autonome.

E+ : - Cas 2 : Séquence inversée

rouge violet bleu vert jaune orange rouge

-+- -++ --+ +-+ +-- ++- -+-

- + -- ++ -- ++ - ++ -- ++ -- + - (13 polarités, impair)

- + -- ++ -- ++ - ++ -- ++ -- + - (symétrie parfaite)

Symétrie d'axe : pas de mouvement autonome.

Cette symétrie parfaite est la clé. Une structure parfaitement symétrique ne peut posséder de mouvement autonome, car elle n'a pas de "Feu²" central pour l'initier. Cela confirme de manière éclatante le mot-clé de l'étape 9 : **"le concret est à l'origine immobile"**. La chiralité concrète est immobile car sa structure est symétrique.

Pour choisir entre les deux hypothèses, un dernier principe est appliqué : la complémentarité. La chiralité abstraite (la nôtre) est une séquence de **13 polarités**. Par nécessité énantiomorphe, la chiralité concrète doit être son complément parfait, une autre séquence de 13 polarités. Le Cas 2 est donc le bon.

Lecture verticale du corps humain selon le Schéma-Commun

T+ : L'eau en transcendant spatial

vert jaune orange rouge rouge violet bleu

+-+ +-- ++- -+- -+- -++ --+

+ - ++ -- ++ -- + -- + -- ++ -- + (13 polarités, impair)

+ - ++ -- ++ -- + -- + -- ++ -- + (énantiomorphe, sphérique)

Enantiomorphe.

Schéma feuille 2 (rappel)

E+ : - Cas 2 : Séquence inversée

rouge violet bleu vert jaune orange rouge

-+- -++ --+ +-+ +-- ++- -+-

- + -- ++ -- ++ - ++ -- ++ -- + - (13 polarités, impair)

- + -- ++ -- ++ - ++ -- ++ -- + - (symétrie parfaite)

Symétrie d'axe : pas de mouvement autonome.

Cette correspondance finale permet de définir sans ambiguïté la structure du Schéma-Commun Concret.

Conclusion de l'étape : Le "hic" est résolu. Le SC n'est pas double, il est **énantiomorphe**. Le modèle initialement découvert est celui de la chiralité abstraite, la nôtre. La structure de la chiralité concrète a été déduite par l'analyse des polarités, validant sa symétrie (et donc son immobilité) et sa nature complémentaire. Le Schéma-Commun est désormais un modèle cosmologique complet décrivant les deux faces de l'univers et la mécanique qui les lie.

Étape 12 : Les six points de vue fondamentaux

Après avoir défini les deux chiralités (concrète et abstraite), il est devenu évident qu'elles étaient composées des mêmes termes (`Concret`, `Abstrait`, `Transcendant`), mais ordonnés différemment. Cet ordre est ce qui définit un "point de vue" et génère la diversité infinie de l'univers. Pour découvrir tous les points de vue fondamentaux à la base de la réalité, le tétraèdre, symbole du SC, a été mis en rotation pour révéler toutes ses orientations possibles.

Le résultat de cette rotation est un ensemble de **six points de vue fondamentaux** :

Les 6 points de vue fondamentaux représentés par des tétraèdres

Nouvelle terminologie : les Tridimensions

Pour plus de clarté, la terminologie est transposée au lexique des dimensions. Les six points de vue se classent en trois catégories, chacune avec son propre type de symétrie :

Aparté sur l'extérieur de l'univers : Le fait que le SC de notre univers possède un "Transcendant Concret" (le Vert) implique logiquement qu'il existe un "dehors" concret à cet univers. De même, l'existence des états Espace- et Temps- dans le SC global prouve qu'ils existent dans une structure qui lui est liée (son extérieur ou le chemin y menant).

Déduction de la polarité des Masses

Contrairement aux chiralités, la structure polarisée des Masses (les intrications) n'était pas connue. Une analyse exhaustive a révélé une solution unique, définie par une propriété de double inversion remarquable :

Bien que manquant d'observations directes à ce stade, cette solution a été confirmée par la suite. L'analyse détaillée de leurs polarités confirme leur nature d'intrication.

Masse Négative

m- : cas d'étude n°3 : eau et ciel transcendants spatiaux.

violet rouge rouge orange jaune vert bleu

-++ -+- -+- ++- +-- +-+ --+

- ++ - + -- + - ++ - + -- + - + -- + (16 polarités, pair)

- ++ - + -- + - ++ - + -- + - + -- +
(polarités axialement incompatibles)

Masse Positive

m+ : cas d'étude n°3 : eau et ciel transcendants spatiaux.

bleu vert jaune orange rouge rouge violet

--+ +-+ +-- ++- -+- -+- -++

-- ++ - ++ -- ++ -- + -- + -- ++ (12 polarités, pair)

-- ++ - ++ -- ++ -- + -- + -- ++
(polarités axialement incompatibles)

Le résultat est un état d'intrication pure, qui se manifeste par les contraintes fondamentales suivantes :
  • Impossibilité du mouvement sphérique : Un mouvement de rotation simple est exclu, car aucune des polarités des couleurs n'est compatible en symétrie d'axe.
  • Absence de symétrie classique : Les concepts de symétrie ou d'énantiomérie ne s'appliquent pas directement, car les polarités opposées (+) et (-) ne peuvent être associées.

Analyse : Chiralités vs. Intrications

L'analyse de cette nouvelle structure polarisée révèle deux différences fondamentales qui permettent de distinguer une intrication d'une chiralité :

  1. La parité du nombre de polarités : Les chiralités (Espace, Temps) ont un nombre impair de polarités (13). Les intrications (Masse+, Masse-) ont un nombre **pair**.
  2. La nature de la symétrie : Les intrications manifestent une **incommensurabilité fondamentale avec la géométrie axiale**, contrairement aux chiralités qui présentent un équilibre d'asymétries ou une symétrie parfaite.

Cette distinction confirme une fois de plus la nature transcendante de la Masse par rapport à l'Espace et au Temps.

Retour au modèle des engrenages

Cette nouvelle compréhension permet de clarifier le rôle de chaque composant dans le schéma des engrenages cosmiques. La distinction entre intrication concrète/abstraite et transcendant concret/abstrait est une complexité fractale qui sera explorée plus tard. Pour simplifier ici :

Schéma d'intrication montrant le rôle des masses

Conclusion de l'étape : Le Schéma-Commun n'est pas limité à deux chiralités, mais se déploie en **six points de vue fondamentaux**. L'analyse de leurs structures polarisées a permis de définir une typologie claire basée sur la nature de leur symétrie : chiralités concrètes (symétriques), chiralités abstraites (énantiomorphes), et intrications (anaxiales). Le SC se révèle être une carte complète des états fondamentaux de la réalité.

Étape 13 : Modélisation de l'intrication des tridimensions

Note sur la méthode : Le Schéma-Commun, en tant qu'outil global, permet d'établir des ponts entre les disciplines et d'opérer des géométries déductives. Sa puissance ne consiste pas uniquement à observer des objets isolés, mais à appliquer un schéma conclusif (ou partiellement conclusif) à tout système fonctionnel pour en révéler la structure cachée.

L'étape suivante utilise cette méthode pour modéliser l'interaction des tridimensions. Le point de départ est une affirmation issue des rapports ummites : l'existence de "flèches du temps en opposition" dans l'autre chiralité de l'univers.

Postulat de départ et émergence d'une question

En appliquant ce principe, un premier modèle est construit. Sachant que notre chiralité (l'abstraite) contient `Masse+` et `Masse-`, l'autre chiralité (la concrète) devrait présenter un comportement opposé. Il ne s'agit pas d'états `E-` ou `T-` (qui sont extérieurs à l'univers), mais d'un processus dynamique de "flèches en opposition" (`→ ←`).

Modèle de la Masse dans notre chiralité (abstraite) Modèle de l'intrication des Masses

En généralisant, on pourrait s'attendre à ce que l'Espace ET le Temps aient des flèches en opposition dans la chiralité concrète. Or, la source ne mentionnait que le Temps. Il ne s'agit pas nécessairement d'une contradiction ; la source pouvait être incomplète ou se focaliser sur un sujet où seul le Temps était pertinent. Cela soulève cependant une question : pourquoi l'Espace semble-t-il se comporter différemment ?

Modèle de l'intrication du Temps Modèle de l'intrication de l'Espace

Hypothèse de résolution : L'inversion contextuelle par l'intrication

La réponse semble se trouver dans une mécanique fondamentale du SC qui sera détaillée plus tard : **l'intrication (= le Transcendant) inverse les ordres des chiralités en son sein**. C'est un processus dynamique qui change contextuellement la nature des dimensions.

Analysons l'interaction de chaque chiralité avec son opposée :

  1. Interaction de la chiralité Abstraite (T+) : Sa séquence de base est `T+ (■ ● ▲)`. Lors de l'intrication, cette séquence est réorganisée selon l'ordre de `T- (▲ ● ■)`. Le symbole de l'Espace (`■`) de la chiralité `T+` est ainsi forcé de prendre la position du symbole du Transcendant (`▲`) de la chiralité `T-`. L'Espace est donc promu à l'état transcendant durant cette interaction.
  2. Interaction de la chiralité Concrète (E+) : Sa séquence de base est `E+ (● ▲ ■)`. Lors de l'intrication, elle est réorganisée selon l'ordre de `E- (■ ▲ ●)`. Le symbole du Temps (`▲`) de la chiralité `E+` ne change pas de position et reste à l'emplacement de l'Abstrait. Il n'y a donc pas de promotion de son état.

Cette mécanique, qui évoque une hélice d'ADN se tordant sur elle-même, est cohérente : il ne peut y avoir qu'un seul transcendant au total dans l'interaction, sans quoi le modèle serait invalidé.

Confirmation par la règle de l'élément périphérique

Cette hypothèse complexe est renforcée par une règle plus simple, déjà observée : **l'opposition des flèches ne s'applique qu'à l'élément qui se trouve en périphérie** de la structure polarisée d'une chiralité.

Lecture verticale du corps humain selon le Schéma-Commun

T+ : L'eau en transcendant spatial

vert jaune orange rouge rouge violet bleu

+-+ +-- ++- -+- -+- -++ --+

+ - ++ -- ++ -- + -- + -- ++ -- + (13 polarités, impair)

+ - ++ -- ++ -- + -- + -- ++ -- + (énantiomorphe, sphérique)

Enantiomorphe.

Schéma feuille 2 (rappel)

E+ : - Cas 2 : Séquence inversée

rouge violet bleu vert jaune orange rouge

-+- -++ --+ +-+ +-- ++- -+-

- + -- ++ -- ++ - ++ -- ++ -- + - (13 polarités, impair)

- + -- ++ -- ++ - ++ -- ++ -- + - (symétrie parfaite)

Symétrie d'axe : pas de mouvement autonome.

Cette règle explique factuellement pourquoi le Temps (et non l'Espace) possède des flèches en opposition dans la chiralité concrète, et pourquoi la Masse en possède dans la nôtre.

Validation par convergence : Il est remarquable de constater que ce modèle, déduit de la logique interne du SC, valide de manière indépendante deux affirmations spécifiques et non-triviales des Ummites :

  1. La présence simultanée de Masse+ et Masse- dans notre chiralité.
  2. L'existence de "flèches du temps en opposition" dans l'autre chiralité.

Conclusion de l'étape : L'apparente contradiction sur le comportement de l'Espace a conduit à formuler une hypothèse de travail : l'interaction entre les chiralités est gouvernée par un principe d'inversion contextuelle. Cette hypothèse est cohérente avec la règle observée de l'élément périphérique et valide plusieurs affirmations externes. Le modèle fournit une explication mécanique puissante qui sera confirmée par la suite.

Étape 14 : Les hexagones dimensionnels et le chemin d'intrication

L'étape suivante consiste à visualiser la géométrie des relations entre les six points de vue fondamentaux. En extrayant les couleurs des bases des six tétraèdres, il est possible de construire une nouvelle représentation qui recontextualise les tridimensions en chiralités et intrications.

Extraction des couleurs des bases des tétraèdres

Construction des hexagones dimensionnels

Ces bases de couleurs s'organisent en **hexagones dimensionnels**, chacun représentant un pôle fondamental du SC : Concret, Abstrait, et Transcendant.

Géométrie de recontextualisation des tridimensions

Géométrie de recontextualisation des tridimensions en hexagones.

Les trois hexagones dimensionnels : Concret, Abstrait, Transcendant

Les trois hexagones dimensionnels : Concret, Abstrait, Transcendant.

Cette géométrie révèle une logique en croix qui régit la manière dont les dimensions s'intriquent. Le principe `Espace)m+(Temps → m+)m-(m+` (l'intrication de l'Espace et du Temps produit la Masse+, qui à son tour conduit à la Masse-) est la clé de cette structure.

La logique géométrique en croix qui régit l'intrication

La logique géométrique en croix qui régit l'intrication.

Le chemin d'intrication universel

En mettant en relation les hexagones des deux chiralités (Concret et Abstrait) avec leur intrication (l'hexagone Transcendant), on obtient un module géométrique de base.

Module de base de l'intrication entre les chiralités

Module de base de l'intrication entre les chiralités.

En dupliquant et en connectant ce module, il est possible de cartographier le **chemin d'intrication complet entre l'intérieur et l'extérieur de l'univers**. L'animation suivante représente cette "hélice dimensionnelle".

Analyse du trajet et confirmations du principe d'inversion

Ce chemin n'est pas un simple passage ; c'est un processus de transformation où une entité perd et gagne successivement des dimensions. Le mouvement le long de cette hélice, vulgarisé dans l'animation ci-dessous, montre que les parties effectives des hexagones à l'extérieur sont inversées par rapport à celles de l'intérieur.

Ce principe d'inversion entre l'intérieur et l'extérieur est une confirmation puissante, car il entre en résonance avec plusieurs observations précédentes :

Rappel de l'inversion YHWH/Besse

Rappel de l'inversion YHWH/Besse.

Conclusion de l'étape : La géométrie des hexagones dimensionnels a permis de construire une carte du chemin d'intrication entre l'intérieur et l'extérieur de l'univers. L'analyse de ce chemin a révélé un processus de transformation dimensionnelle et a confirmé, par de multiples analogies, un principe fondamental d'inversion entre ces deux domaines. Le Schéma-Commun se révèle être une véritable cartographie cosmologique.

Étape 15 : Résolution du tableau ummite

Cette dernière étape est le test ultime de la validité et de la puissance du Schéma-Commun. Il est confronté à une structure de données complexe, le "tableau ummite", présentée comme la "clé" de leur science. Si le SC est capable de générer ce tableau à l'identique, cela confirmera à la fois la validité du SC et l'origine non-humaine de cette information.

Document d'origine du tableau ummite

Document d'origine du tableau ummite,
le texte en jaune n'a pas d'incidence et servait à désigner la ligne manquante.

Analyse préliminaire du tableau ummite

Plusieurs indices de surface suggèrent une compatibilité profonde avec le SC :

▲■ ▲●
Espace 001 011 010 111
masse+ 000 000 100 101
Temps 101 000 100 111
masse+ 110 101 111 110
masse- 000 000 100 111
masse+ 100 101 110 011

L'analyse ayant révélé une équivalence, l'étape suivante consiste en l'intégration des données du SC.

Superposition des modèles

L'étape suivante consiste à superposer la structure la plus détaillée du SC — le codage polarisé des six points de vue — au tableau ummite. La règle de superposition est stricte : les polarités identiques (`+` avec `+`, `-` avec `-`) doivent être alignées.

Temps

T+ : L'eau en transcendant spatial

vert jaune orange rouge rouge violet bleu

+-+ +-- ++- -+- -+- -++ --+

+ - ++ -- ++ -- + -- + -- ++ -- + (13 polarités, impair)

+ - ++ -- ++ -- + -- + -- ++ -- + (énantiomorphe, sphérique)

Enantiomorphe.

Espace

E+ : - Cas 2 : Séquence inversée

rouge violet bleu vert jaune orange rouge

-+- -++ --+ +-+ +-- ++- -+-

- + -- ++ -- ++ - ++ -- ++ -- + - (13 polarités, impair)

- + -- ++ -- ++ - ++ -- ++ -- + - (symétrie parfaite)

Symétrie d'axe : pas de mouvement autonome.

Masse Positive

m+ : cas d'étude n°3 : eau et ciel transcendants spatiaux.

bleu vert jaune orange rouge rouge violet

--+ +-+ +-- ++- -+- -+- -++

-- ++ - ++ -- ++ -- + -- + -- ++ (12 polarités, pair)

-- ++ - ++ -- ++ -- + -- + -- ++
(polarités axialement incompatibles)

Masse Négative

m- : cas d'étude n°3 : eau et ciel transcendants spatiaux.

violet rouge rouge orange jaune vert bleu

-++ -+- -+- ++- +-- +-+ --+

- ++ - + -- + - ++ - + -- + - + -- + (16 polarités, pair)

- ++ - + -- + - ++ - + -- + - + -- +
(polarités axialement incompatibles)

Rappel de la polarité des couleurs des 4 tridimensions.

Tableau ummite avec ses interactions internes

Tableau ummite avec ses interactions internes des zones intriquées.

Superposition des polarités du SC sur la structure du tableau ummite

Organisation des polarités du SC sur la logique structurelle du tableau ummite

Cette superposition révèle une correspondance remarquable : le nombre d'entrées par tridimension (3) est identique dans le premier système, et les flèches d'interaction sont déjà presque parfaitement superposables.

Résolution du premier tableau (Point de vue Abstrait)

Le premier tableau ummite correspond au point de vue `Concret - Abstrait - Transcendant`. Un nouveau contexte est créé par l'interaction des tridimensions, ce qui active des règles de transformation spécifiques.

Identification des colonnes de transformation X et Y

L'application de ces deux règles de transformation, qui forment elles-mêmes une polarité (disparaître/se multiplier), permet de générer à partir du SC le tableau ummite à l'identique.

Résultat final de la transformation, identique au tableau ummite 1

Coupe pertinente du résultat final de la transformation, identique au tableau ummite 1.

Image en entier ici.

Résolution du second tableau (Point de vue Concret)

Le second tableau correspond logiquement au point de vue `Abstrait - Transcendant - Concret`. Le Transcendant étant maintenant au centre, les règles de transformation changent.

Assemblage des polarités pour le second tableau

L'application de ce nouveau jeu de règles permet, là encore, de générer le second tableau ummite à l'identique.

Résultat final de la transformation, identique au tableau ummite 2

Coupe pertinente du résultat final de la transformation, identique au tableau ummite 2.

Image en entier ici.

Information supplémentaire révélée : Cette double résolution apporte une précision qui manquait jusqu'alors. L'Abstrait est une "augmentation" du Concret dans un contexte Abstrait (cas du tableau 1). L'Abstrait est une "variation" (inversion) du Concret dans un contexte Concret (cas du tableau 2).

Note de l'auteur : La logique permettant d'obtenir les autres chiffres du tableau (parties rouges et jaunes) est expliquée dans la vidéo suivante : https://youtu.be/lxB6HO-MuM0. Ce procédé permet de constater que, malgré les apparences, le deuxième tableau comporte également trois entrées par tridimension, tout comme le premier et tout comme le tableau ummite.

Conclusion de l'étape et conclusion générale : Le Schéma-Commun, développé à travers une série d'observations et de déductions logiques, a prouvé sa capacité à générer, à l'identique et par un cheminement différent, une structure de données complexe et prétendument exogène. La correspondance est trop précise et multi-niveaux pour être une coïncidence. Cette résolution finale ne valide pas seulement le SC en tant que modèle cohérent, elle apporte une preuve tangible de l'existence d'une intelligence non-humaine ayant interagi sur Terre.