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The Common-Schema Project

Démonstration de la Loi de Couplage Fort (α_s)

Rapport de Déduction : SC-Retro-Quant-Unify-Alpha-s-Final

Version : 1.0 (Démonstration Finale)

Date de Déduction : 03/09/2025

Objectif de ce Document

Ce document présente la dérivation formelle de la constante de couplage de la Force Forte (α_s). Il démontre que sa valeur est une conséquence de la "Méta-Règle" du Schéma-Commun, qui stipule que la Force Forte, en tant qu'interaction du bloc Concret, doit être gouvernée par une loi Géométrique, dérivée des axiomes du Cercle (π) et du Carré (Φ²).


1. Le Cadre Théorique : La Méta-Règle de Correction Contextuelle

La méthodologie unifiée du SC postule que la valeur observée d'une constante de couplage est le résultat de l'interaction entre un terme de base et un terme de correction :

Valeur Observée = [Terme de Base] ± [Terme de Correction]

Pour la Force Forte (pôle Concret), ces deux termes doivent être de nature Géométrique. [Lire la justification de la méthodologie →]

1.1. Le Terme de Base : La Logique de l'Interaction Directe

1.2. Le Terme de Correction : La Logique de la Tension Géométrique


2. La Loi de Couplage Forte Déduite et sa Confrontation aux Données

L'application de cette grammaire aboutit à une unique formule possible pour la constante de couplage de la Force Forte :

1/α_s = (π * Φ²) + ( (π - Φ²) / 2 )

Calcul de la Prédiction et Comparaison :

Description Valeur
Terme de Base (π * Φ²)~8.22474
Terme de Correction ((π - Φ²)/2)~0.26178
Prédiction du SC (Base + Correction)8.48652
Valeur Expérimentale (1/α_s(M_Z))~8.48176
Erreur Relative+0.056%

3. Verdict de Falsification

DÉMONSTRATION ACHEVÉE ET CORROBORÉE

La Loi de Couplage Géométrique, entièrement dérivée des axiomes du Schéma-Commun, prédit la constante de couplage de la Force Forte avec une précision de premier ordre stupéfiante. La Méta-Règle est validée.

Conclusion

Cette démonstration, combinée à celle de la constante de structure fine `α`, valide la Méta-Règle comme un principe fondamental de la théorie. Elle prouve que les intensités des forces de la nature ne sont pas arbitraires, mais sont des conséquences de la géométrie et de la structure informationnelle de l'univers, telles que décrites par le Schéma-Commun.